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Création de marque : 10 erreurs de naming

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Création de marque : 10 erreurs de naming
15/04/2025
15
min

Nommer une entreprise, c’est poser la première pierre d’une marque. Et cette pierre, elle doit être solide, lisible, désirable. Le problème ? Trop d’entreprises sabotent leur image dès la première syllabe.

Voici les 10 erreurs de naming qu’on croise (trop) souvent, un guide à lire avant de baptiser votre bébé entrepreneurial. Et si vous évitez ces erreurs, vous serez sans doute fier d'entendre votre nom de marque, et vous pourrez dire fièrement...

Le naming, c’est quoi exactement ?

Le naming, c’est l’art (et aussi la science) de choisir le nom d’une marque, d’un produit ou d’un service. Dit comme ça, cela peut paraître facile… mais en réalité, c’est une étape stratégique clé dans tout projet de création de marque. Un exercice qui mobilise autant la créativité que l’intuition  et surtout une méthode rigoureuse.

Un bon nom ne se contente pas de bien sonner. Il doit :

  • Capturer l’essence de la marque : sa mission, sa personnalité, son ambition.
  • Se démarquer dans un environnement souvent saturé.
  • Résonner avec sa cible, tout en étant lisible, mémorisable et facile à prononcer.
  • Être disponible, autant juridiquement (pour pouvoir le déposer en toute sécurité) que techniquement (nom de domaine, réseaux sociaux).
  • Et bien sûr, éviter les faux-pas linguistiques ou culturels si vous visez l’international.

Chez Studio Elias, on ne traite jamais le naming comme une tâche isolée. Il s’intègre pleinement dans la construction d’une plateforme de marque cohérente, efficace et durable. Et pour y parvenir, nous avons notre propre méthode que vous pouvez découvrir dans notre article dédié : les 8 étapes pour créer une plateforme de marque en agence avec style et efficacité. Une lecture précieuse avant de choisir un nom… ou de vous lancer dans n’importe quel projet de branding.

Maintenant que le décor est planté, voyons ensemble les erreurs de naming les plus courantes et comment les éviter intelligemment.

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1. Un nom trop générique

C’est l’erreur la plus classique en création de marques : vouloir un nom passe-partout, qui "fait sérieux", "fait pro", mais qui finit surtout par ne rien dire. Des noms comme "Global Tech", "Business Solutions" ou "Innov' Services" sont si vagues qu’ils en deviennent invisibles. Ils n’expriment ni positionnement, ni promesse, ni identité mémorable.

Contre-exemple : "International Business Machines". C’est littéral, technique, interminable… et heureusement que l’entreprise a très tôt opté pour l’acronyme IBM. Sans cette simplification, il est peu probable que le nom aurait autant marqué l’histoire du numérique.

Logo IBM
Notre conseil : si vous êtes en train de choisir un nom de marque, visez la singularité. Trouvez un nom qui intrigue, qui évoque une idée, une émotion ou une énergie propre à votre projet. Il ne s’agit pas de tout expliquer, mais de commencer à raconter une histoire la vôtre.

2. Choisir un nom trop descriptif

Un bon nom ne doit pas tout expliquer. Il doit suggérer, donner envie, ouvrir un imaginaire. Trop de marques veulent à tout prix inclure leur activité dans leur nom. Résultat : des intitulés plats comme "Livraison Repas Express" ou "Covoiturage France", qui ressemblent à des catégories de Google plutôt qu’à des marques.

Contre-exemple : Books.com. C’est peut-être très clair, mais c’est surtout sans saveur. On ne retient pas, on ne différencie pas, on ne connecte pas émotionnellement. Et en branding, c’est fatal.

Chez Studio Elias, nous avons travaillé sur la création du nom BigBuddy. Ce projet éducatif méritait un nom qui dépasse la simple description d’un service. Nous avons imaginé un nom complice, accessible, humain. BigBuddy, c’est plus qu’un outil d’apprentissage : c’est un guide, un soutien, un mentor bienveillant. Le nom traduit à la fois la mission et la personnalité de la marque, sans jamais être littéral.

Recherche de naming pour BigBuddy, par Studio Elias

3. Ne pas vérifier la disponibilité juridique et digitale

C’est une erreur qui peut coûter très cher. Tomber amoureux d’un nom, commencer à travailler le logo, acheter les cartes de visite… avant de découvrir que le nom est déjà déposé à l’INPI, que le .com est squatté par un revendeur de domaines ou que l’Instagram est utilisé par un restaurant à Jakarta.

Contre-exemple : À ses débuts, Google s’appelait "BackRub". Au-delà du nom peu inspirant, il n’était pas juridiquement disponible et risquait des conflits. Le changement de nom a été salvateur. Et heureusement.

Avant de valider un nom, vérifiez systématiquement sa disponibilité juridique (INPI ou organisme équivalent), sa disponibilité en nom de domaine (notamment en .com et .fr), et sur les principaux réseaux sociaux.

BackRub, anciennement Google

4. Un nom difficile à prononcer ou à épeler

Un nom trop complexe est un frein à la diffusion naturelle de la marque. Si les gens hésitent sur la prononciation, oublient des lettres ou tapent mal votre nom sur Google, vous ratez des occasions précieuses de visibilité.

Contre-exemple : Le nom "Sviatoslavl", s’il devait devenir une marque, poserait de sérieux problèmes de bouche-à-oreille. Impossible à prononcer pour une large partie du public, il serait un obstacle constant à la mémorisation.

Un bon nom doit se lire facilement, se dire spontanément, s’écrire sans faute. Il ne doit jamais être un frein à la diffusion organique.

5. Suivre la tendance aveuglément

Chaque époque a ses tics de langage. Les années 2010 ont vu fleurir les "-ify", "-ly", "-oo", "-ster"… Beaucoup de marques ont cru bon de surfer sur ces codes, pensant s’intégrer dans l’univers start-up. Mais les tendances passent, et avec elles, l’originalité de ces suffixes.

Contre-exemple : "Friendster", "Napster", "Flickster"… Tous ces noms ont souffert du syndrome de la mode. Ils se ressemblaient trop, ont vite perdu leur identité propre, et ont été balayés au profit de noms plus forts et intemporels.

Un nom bien pensé traverse les années. Il ne s’agit pas d’être "à la mode", mais d’être distinctif et cohérent dans la durée.

6. Un nom sans cohérence avec votre univers

Un nom peut être efficace en soi… mais totalement hors-sujet par rapport au reste de votre branding. Lorsqu’on parle de création de marque, le nom ne peut pas être traité comme un bloc isolé. Il doit s’intégrer dans une communication cohérente, alignée avec ce que vous voulez proposer à votre audience.

Une marque de cosmétique éthique ne peut pas s’appeler comme une usine. Une application de méditation ne peut pas s’appeler "TurboWave". Ce type de décalage crée une dissonance qui fragilise le message, même si le nom est accrocheur en apparence.

Contre-exemple : "Steel Empire" pour une marque de soins bio. À aucun moment le nom ne laisse entrevoir l’univers du bien-être, de la nature ou de la douceur. On imagine plutôt une entreprise de métallurgie ou une structure industrielle. Ce choix peut parasiter la perception de la marque dès le premier contact.

L'équipe d'Elias après l'application d'une crème Steel Empire

Un bon nom, c’est un nom qui utilise les bons codes, au bon endroit. Il doit s’accorder avec votre ton de voix, votre charte visuelle, votre storytelling, et plus largement, avec l’univers que vous avez décidé de construire. C’est un acte créatif, mais aussi stratégique. Le nom ne fait pas tout, mais il doit jouer la même partition que le reste.

7. Oublier la dimension internationale

Ce qui sonne bien en France peut être désastreux dans une autre langue. À l’heure du digital, une marque peut rapidement être visible (ou vendue) à l’international. Un nom mal interprété peut provoquer malaise, rire ou rejet.

Contre-exemple : La Mitsubishi Pajero. En espagnol, "pajero" est une insulte. Résultat : la marque a dû revoir sa stratégie de communication dans les pays hispanophones.

Faites toujours un tour d’horizon linguistique si votre nom a des sonorités étrangères ou si vous visez une audience internationale. Le ridicule ne tue pas, mais il ralentit la croissance.

8. Faire un jeu de mots douteux

L’humour est une arme à double tranchant. Bien utilisé, il crée de la complicité. Mal maîtrisé, il peut ruiner la crédibilité de votre marque. Les jeux de mots visuels ou phonétiques peuvent vite paraître lourds ou dépassés.

Contre-exemple : "Coiff’Emoi", "Hair du Temps", "Beauti’Foule"… Ces jeux de mots peuvent faire sourire… mais manquent souvent de subtilité et datent très mal.

L’humour dans un nom de marque doit être fin, durable, et aligné avec votre public cible. Mieux vaut une émotion sincère qu’un calembour de salon.

9. Faire valider par trop de monde

Vouloir l’avis de tout le monde part d’une bonne intention. Mais à force de vouloir plaire à chacun, on finit par créer un nom tiède, consensuel, sans saveur. Et dans un univers de marques toujours plus nombreuses, ce genre de nom s’efface dès qu’il apparaît. Un bon nom ne cherche pas à plaire à tout le monde : il cherche à marquer sa cible, à assumer un positionnement clair.

Contre-exemple : une PME industrielle avait trouvé un nom audacieux, différenciant, aligné avec ce qu’elle voulait proposer. Mais au moment de le valider, le processus s’est transformé en sondage géant. « Le stagiaire trouvait ça trop original », « la comptable ne voyait pas le rapport », et tout le monde voulait y mettre son grain de sel. Résultat : ils ont opté pour "NovaTechPlusGroup". Un nom sans personnalité, difficile à utiliser dans une stratégie de communication, et impossible à défendre sur le long terme.

Notre conseil : mieux vaut une direction claire, portée par une vision assumée, et validée par des profils clés : fondateurs, experts du branding, clients cibles. La création d’un nom de marque est un acte créatif, pas un exercice de démocratie participative. Trop de compromis tuent la singularité.

10. Ne pas tester le nom en conditions réelles

Une fois que vous avez votre shortlist, il ne reste plus qu’à la mettre à l’épreuve. Un nom ne vit pas dans un tableau Excel. Il vit dans un pitch, une URL, une signature mail, une publicité, un feed Instagram.

Contre-exemple : "Moov" était une bonne idée… sur le papier. Mais trop générique, trop court, trop difficile à référencer. Résultat : une marque perdue dans les méandres du SEO, difficile à retrouver même avec un bon budget marketing.

Testez toujours votre nom à voix haute, sur des mockups, en contexte digital. C’est là que vous saurez s’il est vraiment fait pour durer.

Logo BigBuddy, par Studio Elias

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Comment bien choisir un nom de marque ? La checklist Studio Elias

Maintenant que vous savez tout ce qu’il ne faut surtout pas faire, passons à ce qu’il faut absolument garder en tête. On a conçu pour vous une checklist pour valider qu’un nom coche toutes les cases avant d’être adopté. Ce n’est pas une formule magique, mais presque.

Voici les 6 critères essentiels pour choisir un bon nom de marque :

1. Est-il mémorisable ?

Un bon nom reste en tête dès la première lecture ou écoute. Pas besoin de le noter pour s’en souvenir. S’il faut l’expliquer trois fois ou l’épeler à chaque appel client, c’est qu’il n’est pas prêt.

Test rapide : dites le nom à quelqu’un et demandez-lui 10 minutes plus tard de vous le redonner.

2. Est-il distinctif ?

Votre nom doit se démarquer dans son environnement. Pas besoin qu’il soit excentrique, mais il doit émerger visuellement et phonétiquement dans son secteur. Si on ne vous distingue pas dans un menu déroulant de concurrents, il faut creuser encore.

Bonus : évitez les termes vus et revus dans votre industrie ("green", "tech", "connect", etc.).

3. Est-il aligné avec votre plateforme de marque ?

Votre nom doit faire écho à votre mission, personnalité et positionnement. Ce n’est pas un accessoire, c’est un vecteur d’identité. Un nom rassurant pour une marque engagée dans la santé. Un nom pétillant pour une marque orientée jeunesse. Un nom fort pour un acteur B2B à l’ambition affirmée.

Rappel utile : si vous n’avez pas encore de plateforme de marque, commencez par là. Notre article dédié regroupe définition, étapes et conseils pour créer votre plateforme de marque.

4. Est-il disponible (juridiquement et digitalement) ?

Un bon nom ne vaut rien s’il est déjà pris. Avant d’y investir du temps (ou un logo), vérifiez :

  • la disponibilité à l’INPI (ou équivalent)
  • les noms de domaine principaux (.com, .fr, etc.)
  • les handles réseaux sociaux (Instagram, LinkedIn…)

Conseil : faites cette vérification dès que vous avez une shortlist, pas une fois que vous êtes attaché.

5. Est-il facile à prononcer et à écrire ?

Si votre cible hésite entre deux orthographes ou bute sur la prononciation, vous allez rater des points de notoriété, des visites SEO et du bouche-à-oreille. La simplicité est votre alliée.

Exercice pratique : dictez le nom au téléphone à un ami et voyez ce qu’il comprend.

6. Évoque-t-il quelque chose de plus grand que votre produit ?

Un bon nom ouvre un imaginaire. Il ne se limite pas à une fonctionnalité, il suggère une ambition, une vision, une promesse. Un bon nom est comme une porte d’entrée : il invite à découvrir un univers.

Démonstration inspirante : BigBuddy, un nom conçu par Studio Elias. Derrière ces deux mots simples se cache toute une vision de l’éducation moderne, humaine, accessible. Pas besoin de décrire la plateforme : le nom parle pour elle.

Des noms réussis : les cas qui nous inspirent

Le naming, ce n’est pas qu’une question de goût. Certains noms marquent durablement parce qu’ils réunissent ce qu’on cherche tous : clarté, singularité, émotion, cohérence. Voici une sélection de noms que nous trouvons particulièrement bien pensés – et ce qu’ils nous enseignent sur l’art de nommer une marque.

Airbnb

À la base, la marque proposait de louer un matelas gonflable ("airbed") chez l’habitant. Le nom, contraction de "Airbed and Breakfast", résume parfaitement l’idée initiale tout en étant flexible : il s’est élargi sans peine à toutes les formes d’hébergement chez l’habitant.

Pourquoi ça marche : simple, accessible, hybride entre fonction et promesse, et surtout capable d’évoluer avec le modèle.

Logo AirBnb

Notion

Un mot simple, abstrait, mais plein de potentiel. Il évoque à la fois l’idée, le concept, la clarté. Et c’est précisément ce que propose le produit : organiser ses pensées, ses projets, ses connaissances.

Pourquoi ça marche : un mot du langage courant, fort sémantiquement, qui ouvre un imaginaire intellectuel et productif.

Logo Notion

Mailchimp

Un chimpanzé qui envoie des mails, vraiment ? Oui, et ça fonctionne. Le nom est décalé, drôle, attachant. Il casse la froideur des logiciels B2B en introduisant une dose d’humour et d’humanité. Pourquoi ça marche : une mascotte + un nom singulier = mémorisation assurée. Parfait pour une solution autrefois technique devenue accessible au plus grand nombre.

Logo Mailchimp

Blablacar

Un nom phonétique, amusant et hautement descriptif. Il résume en un mot l’essence du service : partager une voiture tout en discutant sur la route. "Bla" pour la conversation, "car" pour le véhicule. Pourquoi ça marche : un nom unique, vocal, simple, évocateur, qui a permis à la marque de se faire une place dans tout un secteur.

Logo BlaBlaCar

Figma

Un nom inventé mais ultra fluide. Il sonne comme un mot existant, sans en être un. Il évoque la structure, la figure, la forme. Il est court, mémorable, et surtout adapté à un produit digital et créatif. Pourquoi ça marche : un nom technologique sans être froid, ancré dans la création mais suffisamment abstrait pour grandir.

Logo Figma

BigBuddy – conçu par Studio Elias

Une mention spéciale pour un projet que nous connaissons particulièrement bien. BigBuddy est un nom que nous avons imaginé pour un organisme de formation spécialisé dans les cryptomonnaies. Ce nom évoque un guide, un compagnon, une figure bienveillante et solide. Pourquoi ça marche : humain, rassurant, universel. Il reflète toute la mission de la marque, tout en créant un lien émotionnel immédiat avec la cible.

Découvrez le projet directement sur notre page dédiée au rebranding de BigBuddy 👉

Logo BigBuddy

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Pourquoi un mauvais nom peut freiner la croissance d’une entreprise ?

Mais alors, qu’est-ce que ça change vraiment, un nom ? Est-ce qu’un produit ou un service de qualité ne suffit pas à faire décoller une marque, peu importe comment elle s’appelle ?

La réalité, c’est qu’un mauvais nom agit comme un frein invisible. Il ralentit la notoriété, brouille le positionnement, complique la communication, et dans les cas les plus extrêmes, oblige à tout recommencer.

Voici concrètement ce que peut engendrer un nom mal choisi :

1. Une mémorisation difficile

Un nom trop complexe, trop générique ou sans relief ne se retient pas. Il ne circule pas naturellement dans les conversations. Résultat : vous dépensez plus en publicité pour compenser un bouche-à-oreille absent.

2. Un positionnement flou

Le nom est souvent la première interface entre la marque et son public. S’il envoie le mauvais signal (trop technique, trop enfantin, trop vague…), il brouille la perception de ce que vous faites et à qui vous vous adressez.

3. Des performances SEO et digitales en berne

Un nom trop descriptif ou trop proche de mots-clés génériques (comme "shop", "clean", "green") est difficile à référencer. Il devient presque impossible de sortir du lot sur Google sans déployer une stratégie très agressive.

4. Une crédibilité affaiblie

Un nom bancal peut envoyer un message négatif dès le départ : manque de professionnalisme, identité peu claire, image datée ou maladroite. Et même si le produit est bon, la confiance mettra plus de temps à s’installer.

5. Un changement de nom coûteux

Tôt ou tard, une marque mal nommée doit envisager un rebranding. Ce qui implique : changer de logo, d’URL, de supports, de signalétique, refaire une partie de la communication… Autant anticiper et faire les choses bien dès le début.

Prenons l'exemple d'un client. Leur nom initial, très générique et proche de celui d’un concurrent européen, les empêchait de déposer la marque et brouillait leur discours commercial. En retravaillant leur identité et leur naming, on a pu clarifier leur promesse, sécuriser leur nom et poser des bases solides pour leur développement.

Le nom d’une entreprise n’est pas qu’un détail esthétique. C’est un accélérateur (ou un frein) de croissance. Et c’est pour ça qu’il mérite un vrai travail de fond.

En conclusion : le bon nom, c’est celui qui vous emmène loin

Le naming, ce n’est pas juste une étape sur la to-do d’un lancement. C’est une stratégie à part entière, une fondation identitaire, un véritable levier de croissance. Un bon nom vous distingue, vous positionne, vous rend mémorable. Il parle pour vous, parfois même avant que vous n’ayez eu le temps d’expliquer quoi que ce soit.

À l’inverse, un mauvais nom vous ralentit. Il brouille le message, fragilise l’image, freine l’expansion. Et surtout, il vous empêche de créer ce petit déclic émotionnel qui fait toute la différence dans la tête de vos clients.

Chez Studio Elias, on considère chaque nom comme un point de départ vers une stratégie de marque cohérente, forte, alignée avec son époque et ses ambitions. On ne se contente pas de brainstormer autour d’un café : on creuse, on challenge, on teste, on valide. Et on ne s’arrête que quand le nom fait "tilt".

Vous cherchez un nom qui résonne vraiment ? Parlons-en.

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